Il y a les sondages, les estimations, les projections. Tous décevants, soulignant deux semaines avant le premier tour l'impuissance de Reconquête à peser sur un résultat où Emmanuel Macron sera opposé à quelqu'un qui ne s'appellera pas Zemmour. L'unanimité est flagrante : l'adversaire du grand remplacement, pour s'être trop approché du soleil en début d'année, a subi une chute vertigineuse qui le fait louvoyer autour d'un "seuil de pauvreté", 10%, parfois un peu moins, parfois juste au-dessus, échangeant risettes, toutes les fois qu'ils se croisent, avec Dame Pécresse qui oscille dans les mêmes bas-fonds. Les derniers faits marquants de l'épopée zemmourienne n'ont rien marqué du tout. De nouveaux ralliements de cadres RN dont personne n'a retenu le nom ne firent naître aucune dynamique. L'arrivée en fanfare de Marion Maréchal ne s'est pas traduite par le plus petit frémissement chez ces messieurs de l'IFOP ou de la ...
Chronique quotidienne sur la campagne d'Eric Zemmour